1 avril 2008

Dios es un bromista

Non pas que la Semaine Sainte m'ait donné la foi (plutôt une crise de foie) mais, en cette journée ponctuée d'humour, je voulais rendre hommage à l'humeur parfois blagueuse de Sa Sainteté et de ses émissaires. Le faste de la procession ne doit pas nous enduire d'erreur. Ainsi donc, Dieu est partout, même dans la bibliothèque de ma fac, comme en témoigne cet avertissement au dessus des photocopieuses :


En vieil espagnol :
"Sa Sainteté se réserve le droit d'excommunier
toute personne qui endommagerait
un livre, parchemin ou papier de cette bibliothèque
sans qu'elle puisse être absoute
jusqu'à ce que le document soit parfaitement restitué"



Vestige du passé ou complot des bibliothécaires ? Je n'ai pas encore osé demander. Toujours est-il qu'aujourd'hui plus qu'hier, Dios es un bromista. Et que ma fac cache bien son jeu derrière ses airs contestataires.

Promis, j'arrête de parler de Dieu dans mon prochain billet, ou alors je me fais nonne...

(poisson d'avril)


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah je viens de me rendre compte qu'il y a les même panneaux dans les bibliothèques de mon université :)

Anonyme a dit…

waouu, ya un mystère à percer là...

Je viens d'aller dans la bibliothèque d'une autre fac que la mienne, et ce même panneau trônait à l'entrée...

Tout ça c'est louche, ça cache un complot de l'Opus Dei, au moins. Je compte sur toi pour mener l'enquête Lili sombrero.

bisous !